On ne dira jamais assez tout le mal qu’on pense des jeteurs de mégots. 

 – Jetés au sol, ils finissent tôt ou tard dans une rivière puis dans la mer…

On le voit trop au bord de la Torse. Pollution assurée. 

– Jetés au bord des routes, sur les parkings aux herbes sèches et aux arrêts de bus campagnards, c’est une cause de départ de feux prouvée chaque été malheureusement. Et les constructeurs de voitures qui ne proposent plus de cendriers font un choix lourd de conséquences.

– Jetés dans la forêt ou dans un jardin, c’est le signe d’une invraisemblable inconscience et d’irresponsabilité, alors qu’il est si simple d’avoir une boîte en guise de cendriers. Le mieux étant de ne pas fumer en promenade. 

– Jetés dans la rue, c’est impardonnable. Bien éteints, ils vont dans une poubelle.

Le gardien du lycée nous raconte qu’il garde dans sa loge un seau d’eau pour éteindre les poubelles qui s’enflamment devant son établissement ! 

Nous savons qu’il existe des modèles de cendriers urbains, comme il existe des poubelles de diverses sortes.

Voici un modèle trouvé dans le Var. Nous voulons croire que c’est un  » mobilier  » utile s’ il est placé là où se trouvent des fumeurs : bancs, arrêts de bus, ….

Les pieds des arbres ou les jardinières ne sont décidément pas le meilleur endroit.

Le CIQ demande ces cendriers, distribue des cendriers de poches, disponibles aussi en mairie, mais ramasse régulièrement les mégots lors des journées de nettoyage bénévole….

On doit tous s’y mettre, faisons front aux mégots ! Chaque mégot compte !